
Critique : Lourd, lourdingue, lourdaud
C’est la bonne grosse daube de l’été, primée au Festival de la comédie de l’Alpe d’Huez, et qui fera courir une partie du public. Du rire gras à la Michaël Youn (après Fatal et Vive la France, c’est son troisième long-métrage comme réalisateur), plein de testostérone, déclinant de manière soft (faut plaire à tout le monde) les bienfaits du divorce qui rouvre les portes de l’adolescence avec les... Lire la suite