Riddick - Chronique Cinema

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Durant sa première aventure, Riddick découvrait que des monstres se cachaient dans l'ombre. Cette fois, il apprend que la pluie peut elle aussi être dangereuse.

L'année prochaine le septième Fast & Furious, sous peu un nouveau xXx et aujourd'hui le troisième opus de Riddick: Vin Diesel semble sérieusement aimer ses personnages musclés. Dans le cas de Riddick, je peux comprendre cet amour. Le criminel de l'espace en fuite est une figure remarquable, un personnage qui, pour survivre, a non seulement fait transformer ses yeux en organe de vision nocturne mais a de plus fait un trait sur toute conscience morale. Riddick est prêt à tout pour sauver sa peau et parvient du coup à rester en vie dans les circonstances les plus rudes.

Une qualité qui lui tombe bien à point à nouveau dans Riddick car, tout comme dans Pitch Black (l'original de 2000), il atterrit sur une planète qui ne connaît pas la verdure et où vivent des tas de créatures qui aimeraient bien l'afficher à la carte de leur menu. Ajoutez à cela les chasseurs de prime qui empocheraient volontiers la prime colossale mise sur sa tête et vous voilà avec une situation bien explosive. Une situation qui ressemble franchement fort à ce qui se passait dans Pitch Black, mais ce n'est pas trop grave.

Le réalisateur David Twohy parvient à garder les choses suffisamment passionnantes. Par contre, cette fois, Riddick se conduit systématiquement comme un gland, un trait de caractère qui, à la longue, a tendance à courir sur le haricot.

 

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