Alors qu'Un voyage inattendu peinait légèrement à trouver ses marques, La Désolation de Smaug, deuxième volet des aventures de Bilbon Sacquet, démarre au quart de tour, et emporte le spectateur à travers suspense, aventures et moments épiques.
Mais il reste quelques scories… allez savoir pourquoi Peter Jackson déraille parfois, laissant ellipses manifestes et sentimentalisme par moment affaiblir le récit. Concernant les ellipses, espérons que la version longue qui sortira fin de l'année (bien entendu) remplira les points de suspension. Mais il est dommage que le film en version salle soit sacrifié sur l'autel de cette attente systématique de complément.
Mais bref, ne gâchons le plaisir, et n'hésitez pas à vous replonger dans l'univers de Tolkien, une fois de plus. D'autant que l'apparition à l'écran de Smaug à de quoi couper le souffle! Non d'un dragon!
L'interactivité est minimum, une fois de plus il faudra attendre la seconde version home cinéma pour en prendre plein les mirettes.