
Critique : Une affaire Alzheimer
Quand un film commence par une scène de baignoire qui déborde et d’eau envahissant le carrelage puis dévalant l’escalier, c’est qu’il va s’y passer un truc pas net. La baigneuse se trouve au rez-de-chaussée, marmonnant, nue devant le sapin de Noël illuminé. Changement de plan: une voiture file entre les arbres tandis qu’on entend, en voix off, le message laissé un peu plus tôt sur le répondeur ... Lire la suite