
Critique : Les fantômes d’Ismaël se conjugue au féminin
Comment parler du nouveau film d’Arnaud Desplechin sans se perdre dans les méandres de récits qui s’entremêlent? Histoires d’amour et de fantômes, histoires de création et de disparition, thriller… L’exercice très romanesque, qui répond à un besoin d’enchanter la narration, est à la fois complexe et simple à l’image des personnages qui cherchent leur place et se cherchent. Le c... Lire la suite