
Critique : Un film de pur divertissement décérébré
«Il y a des gens méchants qui s’apprêtent à faire de vilaines choses et c’est notre boulot de les en empêcher.» Voilà. American Assassin ou le retour du good guy, citoyen du monde libre, c’est-à-dire des États-Unis d’Amérique, qui dégomme tous les méchants et sauve le monde de la barbarie meurtrière. Durant les années Reagan, convoquées à plus d’un titre ici, le bad guy était un sale communiste... Lire la suite