The Revenant, The Boy, The Finest Hours... votre Cinereview. - Actu Cinema

 

Tel un esprit vengeur, Leonardo di Caprio – avide de vengeance - traque sans relâche Tom Hardy dans les paysages somptueux de l'Ouest sauvage. Derrière ce synopsis assez simple, se cache le travail - complexe et de toute beauté - d'Alejandro González Iñárritu. The Revenant constitue une véritable merveille, cruelle et mystique  à souhait.



Toujours aussi justement dérangeant, Joaquim Lafosse (Elève libre) nous revient avec Les chevaliers blancs, un titre plus qu'ironique vu le sujet du film: un "trafic" d'enfants organisé pour fournir l'offre par rapport aux demandes d'adoptions en France. Une autre facette merveilleuse du capitalisme.



Si Tim Burton avait envisagé d'adapter l'univers de R.L. Stine (Chair de poule)  fin des années 1990, il aura fallu attendre quasi 20 ans, pour que le projet prenne vie, devant la caméra de Rob Letterman. Beaucoup de frissons fun en perspective.



Mêlant histoire vraie (le récit date de 1952), catastrophe naturelle, survie et action, The Finest Hours met en situation périlleuse ces braves Chris Pine et Casey Affleck.



Grand classique de l'épouvante, The Boy aborde le thème de l'horreur faite jouet pour enfant (dans la veine d'Annabelle): une poupée en porcelaine. La victime? La baby-sitter (Lauren Cohan, The Walking Dead) de service. La bande-annonce donnerait plutôt envie.



Loin des récits sur la découverte sensible, pleine de pudeur et de jeux de séduction, de la sexualité chez les ados, Bang Gang balance une grande claque assez cynique, voire une relecture moderne du mythe de l'amour libre!

 

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