Le 40e FIFF Namur dévoile cinq nouveaux titres de sa sélection! - Actu Cinema

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Le 40e FIFF Namur dévoile cinq nouveaux titres de sa sélection!

La 40e édition du Festival International du Festival Francophone de Namur (FIFF) s’ouvrira le vendredi 3 octobre prochain avec la projection du film tant attendu LES BARONNES de Mokhtaria Badaoui  & Nabil Ben Yadir, en première mondiale. 
 
Le FIFF Namur est heureux de dévoiler cinq nouveaux titres de sa sélection :

  • LA DERNIERE RIVE de Jean-François Ravagan (Belgique/France/Qatar)
  • KATANGA, LA DANSE DES SCORPIONS de Dani Kouyaté (Burkina Faso)
  • METEORS de Hubert Charuel, en collaboration avec Claude Le Pape (France)
  • NINO de Pauline Loquès (France)
  • ON VOUS CROIT de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys (Belgique)

Découvrez ci-dessous tous les détails sur ces films.
 
LA DERNIERE RIVE de Jean-François Ravagan (Belgique/France/Qatar)
 
En 2015, le cinéaste belge Jean-François Ravagan réalise le court métrage de fiction, Renaître, qui remporte un franc succès, récoltant le Pardi di Domani au Festival de Locarno, le Grand Prix à Zinebi Bilbao et le Prix de la Fédération Wallonie-Bruxelles au Brussels Short Film Festival.
 
Cette année, il revient avec un long métrage documentaire poignant, La Dernière Rive, inspiré d’un fait divers et présenté en Sélection Officielle à Visions du Réel à Nyon en Suisse et au DOK.fest München en Allemagne.
 
Un soir de janvier 2017, une vidéo se répand sur les réseaux sociaux, celle d’un jeune gambien en train de se noyer dans les eaux du Grand Canal de Venise. Depuis la rive, des passants l’insultent sans lui porter assistance. Filmé avec un téléphone portable, le corps pétrifié par le froid semble se laisser couler malgré les quelques bouées de sauvetage jetées dans sa direction. Il avait 22 ans et s’appelait Pateh Sabally. À 4.000 kilomètres de là, les voix et les visages de sa famille racontent l’histoire qui a précédé ce drame, l’histoire au dos des images...
 
« En faisant ce film, explique Jean-François Ravagan, j’ai beaucoup pensé à Erri de Luca, un écrivain italien qui dit que les noyés de la Méditerranée sont devenus des phénomènes de masse et, de la sorte, sont anonymisés. Par contraste, l’acte de ce jeune homme, qui s’appelle Pateh Sabally, est personnel, mais immédiatement surmédiatisé. On ne sait pas s’il y avait un message politique derrière son geste. Je voulais dépasser cette surmédiatisation pour rendre compte d’une réalité plus complexe. J’avais deux objectifs précis : d’abord rendre une identité à une personne déshumanisée par une parole raciste, puis prendre le temps de raconter une histoire sur laquelle on peut porter plusieurs regards. »
 
La Dernière Rive réunit les protagonistes Jabu Kandeh Sabally, Pateh Alhaji Sabally, Yerro Sabally et Ibrahima Diallo.
 
Le film est produit par Dérives, en coproduction avec Michigan Films, Wallonie Image Production, Sténopé et Les Films d’Ici, Shelter Prod, avec l’aide du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles, avec la participation du CNC – Centre national du cinéma et de l’image animée, financé par L’Union Européenne, avec le soutien du Doha Film Institute, du Tax Shelter du Gouvernement Fédéral Belge, de la Coopération belge au développement et de la Wallonie.
 
La Dernière Rive est distribué par Dérives et Wallonie Image Production. ScreenBox en assure la diffusion.

La Dernière Rive © Dérives, Michigan Films, WIP, Sténopé, Les Films d’Ici
 

KATANGA: LA DANSE DES SCORPIONS de Dani Kouyaté (Burkina Faso)
 
Descendant d’une famille de Griots pratiquants, Dani Kouyaté est conteur, musicien, metteur en scène de théâtre et de cinéma, enseignant au département d’Anthropologie Culturelle de l’Université d’Uppsala, et enseignant à l’Ecole de Cinéma et Théâtre de Wiks Folkhögskola à Uppsala en Suède.
 
Après plusieurs courts métrages primés dans différents festivals, il réalise son premier long métrage de fiction, Keïta, l’héritage du griot, en 1995 et le présente la même année au FIFF Namur. Six ans plus tard, Sia, le rêve du python, sélectionné en compétition à Namur, remporte le Bayard d’or du meilleur scénario. En 2004, son troisième long métrage de fiction, Ouaga Saga, est à nouveau sélectionné à Namur. Il enchaîne en 2013 avec Soleils, co-réalisé avec Olivier Delahaye. En 2016, il réalise son cinquième long métrage de fiction, Tant qu’on vit.
 
Le FIFF Namur est heureux de retrouver Dani Kouyaté pour son sixième long métrage, Katanga: la danse des scorpions. Présenté lors du FESPACO cette année, le film y a été couronné d’une avalanche de prix, du très convoité grand prix Etalon d’Or de Yennenga jusqu’au Prix du Public, en passant par le Prix spécial FDCT, le Prix Sembène Ousmane de la fondation Ecobank, le Prix spécial UEMOA de long métrage fiction et le Prix de la Critique Africaine – Paulin Soumanou Vieyra.
 
Après l’échec d’un complot contre sa couronne, le roi Pazouknaam nomme son cousin Katanga chef des armées. Conscient du poids de la tâche, Katanga consulte un devin pour s’assurer de la réussite de sa mission. Le devin lit dans le sable que Katanga doit être roi à la place de son cousin, ou qu’il doit mourir avec lui lors d’un prochain complot.
 
« Katanga: la danse des scorpions est une fable politique universelle et intemporelle, adaptée de la tragédie de Macbeth, explique Dany Kouyaté. Il s’agit d’une des rares adaptations cinématographiques du célèbre auteur William Shakespeare sur le continent africain. Adapter Shakespeare en Afrique semble pourtant naturel. L’univers Shakespearien rencontre aisément l’esprit des grandes narrations africaines teintées de surnaturel et de fusions récurrentes entre les mondes visibles et invisibles. Le choix du noir & blanc, en plus de sa force esthétique, apporte au film un caractère fabuleux hors du temps et de l’espace. »
 
Ecrit et réalisé par Dani Kouyaté et tourné en noir et blanc, Katanga est interprété par Mahamadi Nana, Hafissata Coulibaly, Rasmané Ouédraogo, Adissa Ilboudo, Justin Ouidiga et Ildevert Méda. On retrouve le chef opérateur belge Marc de Backer à la photographie.
 
Le film est produit par Sahélis Productions et YeelenBa Productions, et les ventes internationales sont assurées par  Sudu Connexion.

Katanga: la danse des scorpions © Sahélis Productions - YeelenBa Productions

METEORS de Hubert Charuel, en collaboration avec Claude Le Pape (France)
 
Huit ans après Petit Paysan (sélectionné à Cannes, couronné de 3 César et du Prix du Jury Junior du FIFF 2017), Hubert Charuel est de retour avec un deuxième long métrage de fiction, Météors.
 
« Cet univers est celui de la ville de Saint-Dizier, explique Hubert Charuel, l’endroit où j’ai grandi et eu mes premières envies de faire du cinéma. Et toujours parler de personnages dont pas grand monde ne parle. Une nécessité pour Claude et moi parce que c’est un sujet qui nous touche intimement et qu’on avait, chacun pour des raisons différentes, le besoin de le raconter. »
 
« Pendant longtemps, complète sa collaboratrice Claude Le Pape, il y avait une envie de film catastrophe, une chute de météorite sur la ville, et au bout de deux ans, on a retiré la météorite et gardé tout le reste, le trio des personnages, les poubelles nucléaires, l’alcool, la disparition. En fait, on est revenus à ce que Hubert voulait raconter depuis le début : un personnage qui veut en sauver un autre. »
 
Diagonale du vide. Trois amis de longue date. Tony est devenu le roi du BTP, Mika et Dan les rois de rien du tout. Ils ont beaucoup de rêves et pas beaucoup de chance. Après un nouveau plan raté, ils doivent bosser pour Tony dans une poubelle nucléaire. Jusqu’ici tout va mal…
 
Ecrit et réalisé par Hubert Charuel et Claude Le Pape (tout comme Petit Paysan), Météors est interprété par Paul Kircher, Idir Azougli et Salif Cissé.
 
Présenté en Sélection Officielle – Un Certain Regard lors du dernier Festival de Cannes, le film y a remporté le Prix du Jury Pass Culture, ainsi que le Prix du Public au Festival de La Baule.
 
Météors est produit par DOMINO FILMS, en coproduction avec FRANCE 2 CINÉMA, avec le soutien de CANAL+, les participations de CINÉ+ OCS, FRANCE TÉLÉVISIONS, en association avec PYRAMIDE DISTRIBUTION, avec le soutien de LA RÉGION GRAND EST, le soutien et la collaboration de LA VILLE DE REIMS et de la COMMUNAUTÉ URBAINE DU GRAND REIMS TROYES CHAMPAGNE MÉTROPOLE / VILLE DE TROYES (RÉSEAU PLATO), en partenariat avec LE CNC EN COLLABORATION AVEC LE BUREAU DES IMAGES GRAND EST, avec le soutien du CENTRE NATIONAL DU CINÉMA ET DE L’IMAGE ANIMÉE, en association avec SG IMAGE 2023, CINÉMAGE 19, CINÉVENTURE 10, COFINOVA 21, et le soutien de L’ANGOA, LA PROCIREP.
 
Le film sortira en France le 8 octobre, distribué par Pyramide qui en assure également les ventes internationales.

Météors © Domino Films 
 
NINO de Pauline Loquès (France)
 
Après des études de lettres puis de droit, Pauline Loquès cherche à assouvir sa soif d’écriture dans le journalisme. Pendant plusieurs années, elle est rédactrice pour des émissions culturelles. À l’âge de trente ans, elle se dit qu’il est temps pour elle de sortir du statut de spectatrice. Après une formation de scénariste, elle fait le choix, pour son premier essai, de la simplicité et de l’humilité et choisit de dépeindre avec le plus de sincérité possible la vie des jeunes filles qui l’entourent dans un court métrage La Vie de Jeune Fille. Elle enchaîne ensuite avec un premier long métrage, Nino, présenté à la Semaine de la Critique à Cannes cette année, où il a été récompensé du Prix Fondation Louis Roederer de la Révélation pour Théodore Pellerin et du Prix du Public de Valbonne. Le film a également reçu le Prix d'Ornano-Valenti à Deauville et sera présenté en compétition Platform au prochain Festival de Toronto.
Dans trois jours, Nino devra affronter une grande épreuve. D'ici là, les médecins lui ont confié deux missions. Deux impératifs qui vont mener le jeune homme à travers Paris, le pousser à refaire corps avec les autres et avec lui-même.
 
« Quand J’ai tourné le court métrage La Vie de Jeune Fille, se souvient la réalisatrice, j’ai rencontré la productrice Sandra da Fonseca qui m’a poussée à écrire un long. A l’époque, ma famille était confrontée à la maladie d’un de nos proches atteint d’un cancer très agressif et qui en est mort à l’âge de trente-sept ans. Le film lui est dédié. J’étais terrassée par une grande tristesse et un sentiment d’injustice profond. Je me suis mise à écrire, pour retrouver l’espoir. Le personnage de Nino est arrivé par hasard dans mon esprit, un peu comme une rencontre au coin d’une rue. Comme si j’avais croisé ce jeune homme aux vêtements larges, au phrasé hésitant, sur qui la maladie s’abat. Il m’a montré le chemin de ce qu’il allait vivre. J’ai écrit au fil de l’eau, en suivant son errance de manière très instinctive. »
 
Le rôle principal de Nino est tenu par Théodore Pellerin, entouré de William Lebghil et Salomé Dewaels, avec la participation de Jeanne Balibar.
 
Le film est produit par Blue Monday Productions, en coproduction avec France 2 Cinéma, avec le soutien de Ciné+ OCS, la participation de Disney+, France Télévisions, le soutien du Centre national du cinéma et de l’image animée, de La Région Île-de-France, en association avec Cinémage 19, et développé avec le soutien de Cofinova Développement, Procirep-Angoa.
 
Nino sera distribué dès le 15 octobre en Belgique par Distri7 et le 17 septembre en France par Jour2Fête. Les ventes internationales sont assurées par The Party Film Sales.

Nino © Blue Monday Productions - France 2 Cine?ma

ON VOUS CROIT de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys (Belgique)
 
Présenté au dernier Festival de Berlin, dans la compétition des premières œuvres Perspectives où il a reçu une Mention Spéciale, le film aborde avec tact la réalité des violences familiales et l’enjeu de la fiction cinématographique, osant le pari de tourner la scène centrale de 55 minutes en temps réel.
 
Face à la juge, Alice n’a pas droit à l’erreur: il faut à tout prix qu’elle parvienne à faire entendre la parole de ses enfants, terrorisés à l’idée de revoir leur père. Mais aujourd’hui, plus qu’au père, c’est à Alice que la justice demande de rendre des comptes...
 
« Dès le départ de l’écriture, nous nous sommes rendu compte à quel point dans les parcours de justice, les audiences sont naturellement structurées selon les mêmes ingrédients qu’un film de fiction ou une pièce de théâtre, reconnaît Arnaud Dufeys. L'audience a donc été retranscrite selon les différents récits que nous avons recueillis et qui ont tous certaines similitudes. Ce que nous avons davantage fictionnalisé, ce sont les scènes qui précèdent et qui suivent cette audience. Nous les avons construites de manière à s'immerger au maximum dans le parcours émotionnel d’Alice, entre son sentiment initial de culpabilité et la réappropriation de son rôle de mère à la sortie de l’audience. »
 
« Le film s’inspire de mon expérience d’infirmière, mais également de femme et de mère, poursuit Charlotte Devillers. Il y a des similitudes entre mon travail d’infirmière et celui de la mise en scène : en tant que soignante, mes outils principaux sont aussi l’observation et l’écoute. Comprendre les histoires des patients et pouvoir les communiquer à une équipe pour les traiter est déjà quelque chose qui fait partie de mon quotidien. Ce sont des éléments qui ont permis de nourrir à la fois l’écriture et la mise en scène. »
 
Cinéaste et producteur belge, Arnaud Dufeys réalise son premier court métrage Atomes en 2012, présélectionné aux Oscars et Grand Prix du Festival de Bilbao. Il tourne ensuite le court métrage Vertiges en 2014, Prix du Public au FIFF Namur. En 2024, il tourne l’épisode 3 de la série documentaire La mécanique du crime - Pour que cela n’arrive plus. La même année, il présente son court métrage Un invincible été en compétition à la fois au Festival de Berlin et au FIFF Namur.

Cette année, il co-écrit et co-réalise son premier long métrage, On vous croit, avec la réalisatrice française Charlotte Devillers qui, forte de son expérience d’infirmière amenée à souvent travailler avec des victimes d'abus à Paris, a ainsi contribué à saisir certains aspects plus intimes de la réalité du tribunal de protection de la jeunesse. Le film a également remporté le Prix Sang Neuf, le Prix de la jeunesse et le Prix de la meilleure interprétation au Reims Polar Festival et une Mention Spéciale pour Myriem Akheddiou au TOFIFEST 2025.
 
Interprété par Myriem Akheddiou, Laurent Capelluto, Natali Broods, Ulysse Goffin, Adèle Pinckaers, et les vrais avocats Alisa Laub, Marion de Nanteuil et Mounir Bennaoum, le film est produit par Makintosh films (Arnaud Ponthière et Arnaud Dufeys). Le film sera distribué en Belgique par O’brother. Les ventes internationales sont gérées par The Party Film Sales.

On vous croit © Makintosh Films

Le 40e Festival International du Festival Francophone de Namur - FIFF (Belgique) se déroulera du 3 au 10 octobre 2025 dans la cité mosane. 
 
Cette nouvelle édition du FIFF Namur s'ouvrira le vendredi 3 octobre, tandis que la cérémonie de clôture avec remise des prix aura lieu le mercredi 8 octobre. Afin de mettre à l'honneur les lauréats, les festivaliers pourront ensuite (re)découvrir les films primés lors de séances spéciales les jeudi 9 et vendredi 10 octobre au cinéma Caméo.

Rendez-vous des festivaliers, le Chapiteau sera installé du 3 au 8 octobre sur la Place d'Armes.
 
Chaque année, le FIFF Namur présente un vaste programme de films issus des quatre coins de la Francophonie comptant 56 états et gouvernements à travers le monde et réunissant des territoires aussi variés que la France, le Luxembourg, le Québec, la Bulgarie, la Roumanie, la Suisse, l’Egypte, la Grèce, le Liban, le Maroc, la Tunisie, le Burkina Faso, le Cameroun, le Congo, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Mali, le Niger, le Rwanda, le Sénégal, le Cambodge, le Laos, le Vietnam, Haïti ou la Belgique.
 
Devenu, au fil des ans, le rendez-vous incontournable du cinéma de l’espace francophone, le FIFF Namur accueille à la fois un public de spectateurs toujours plus nombreux et des centaines de professionnels du 7e art, que ce soit dans les salles ou lors de rencontres et ateliers.

 

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