Mariage arrangé, trip steampunk, l’adoption ou encore le retour de l’irréductible Gaulois sont au programme de cette première semaine de décembre.
L’équipe derrière Le Seigneur des Anneaux et la trilogie du Hobbit est de retour avec l’adaptation de la saga littéraire pour ados « Mortal Engines ». Des villes sur roues se font la guerre dans un monde post-apocalyptique afin de survivre. Epique, le film promet de compter quelques séquences spectaculaires.
Astérix : le secret de la potion magique
Alexandre Astier poursuit son aventure dans le monde des Gaulois avec son second film d’animation après « Le Domaine des Dieux ». Il est question cette fois ci d’un récit original qui verra Panoramix chercher un druide pour prendre sa relève, mettant en péril la survie de son village.
Après la jolie surprise qu’était « Elle l’adore », Jeanne Herry est de retour avec Pupille, un film montrant le parcours d’un bébé né sous x jusqu’à son adoption par une mère célibataire. Le côté procédurier n’amoindrit aucunement le côté bouleversant du film. A voir !
Il y a eu « 22 July » de Paul Greengrass sorti il y a près de deux mois et voici son pendant norvégien, « Utoya 22 ». Film en un seul plan séquence d’environ 80 minutes, le film d’Erik Poppe montre comment une jeune fille et ses compagnons vont tenter de survivre à l’attaque dévastatrice d’Anders Breivik le 22 juillet 2011 sur l’île d’Utoya.
Comme malheureusement beaucoup de femmes écrivaines, Mary Shelley n’a pas connu la gloire de suite. On a cru que son chef-d’œuvre avait été écrit par son compagnon alors que non, c’est bien à elle seule que l’on doit « Frankenstein ou le Prométhé moderne ».
Ce film belge raconte une histoire d’amour entre deux Bruxellois d’origine pakistanaise et algérienne qui sera mise en péril à cause d’un mariage arrangé. Il a remporté les prix de la critique ainsi que le prix du public lors du dernier Festival International du Film Francophone à Namur.
Fanny Ardant incarne la mère, folle, du chanteur Vianney dans ce road trip qui va les mener des Pays-Bas à Paris en passant par la Belgique.
Gaspard Ulliel est un soldat coincé dans l’Indochine de 1945 et dont l’objectif est de venger son frère tué par les japonais. Ce film âpre plonge les spectateurs dans le chaos qui régnait dans cette jungle dense et hostile.
Les Islandais ont un certain sens du décalage qui est, une fois encore, confirmé avec « Woman at war ». Halla, une quinquagénaire, mène un combat anonyme contre les industries de l’aluminium, semant la panique au sein des institutions nationales. C’est très drôle, hilarant, islandais en somme.
Le métier d’infirmière est un fantasme, un rêve pour beaucoup de jeunes, hommes et femmes. « De chaque instant » retrace le parcours, du combattant parfois, pour atteindre ce but ultime.
« Fist Kiss » raconte l’histoire de Roos, jeune Néerlandaise qui croit au grand amour et espère bien le trouver.
Ce documentaire plonge les spectateurs dans le monde d’Harry Gruyaert, l’un des nos plus illustres représentants en matière de photographie. Le docu compte notamment l’intervention du tout aussi grand Raymond Depardon.