Un Clint Eastwood bougon, vieillissant, vivant dans le déni, voilà ce que nous propose Une nouvelle chance.
Ici, ce rôle qui devient un cliché récurrent, n'apporte rien à la carrière de ce monstre sacré. Que du contraire… vu que cette histoire de dénicheur de talents dans le milieu du base-ball, quasi mis sur la touche vu son grand âge et ses problèmes de vue, plante un décor sans véritable saveur, mise à part la très belle interprétation d'Amy Adams (Man of Steel).
Justin Timberlake cabotine quelque peu, John Goodman reste égal à lui-même (il passe, joue, et repart sans laisser de traces), et le réalisateur Robert Lorenz nous assomme.