Nettement moins sexy que l'héroïne (Jennifer Hunger Games Lawrence) de ce slasher (sachant slasher sans son chien), dont la poitrine reste un point focal systématique des plans et séquences de House at the End of the Street, ce long-métrage satisfera les amateurs de petit gore facile, d'histoires pas trop compliquées et de stéréotypes.
Nous ne faisons donc pas face à du très grand cinéma. Mais malgré ses évidentes faiblesses, 'House at the End of the Street' se laisse regarder sans trop d'inconfort. Il y a bien pire, oh que oui, bien pire. Pour preuve: The Texas Chainsaw 3D, carrément ridicule, aberrant de bêtise, et dénaturant complètement par sa "filiation" honteuse l'opus originel de Tobe Hooper. Par rapport à cela, House at the End of the Street fait donc illusion… mais je pense que notre comparaison frôle la malhonnêteté!