Lâché par son équipe de danseurs à Los Angeles, Sean décide d’en remonter une nouvelle en vue du grand concours appelé "Le Vortex" qui se déroule dans la ville du spectacle, Las Vegas.
Mensonges, trahisons, dépassement de soi, amours contrariées… On dirait presque du Shakespeare dopé au R’n B! A ceci près que les scénarios de la franchise se suivent et se ressemblent atrocement, en appuyant parfois le bouchon tellement loin que cela en devient risible: une rixe dans un bar? On fait une battle. Une promenade touristique? On fait une battle. Une drague au clair de lune? On fait une battle. T-shirt ou chemise? Une battle. Thé ou café? Une battle…
Bref, vous voyez le topo. Tout est prétexte à des chorégraphies qui ont visuellement de la gueule, mais qui ne s’embarrassent pas des incohérences d’un scénario anémique. À l’instar du grand final improvisé en dix minutes, là où le Cirque du Soleil aurait probablement mis trois mois à être au point.