Les âmes vagabondes - Critique Cinema

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A peine 5 films au compteur depuis 1997, le réalisateur Andrew Niccol n'est pas un foudre de production… ça change un peu de la tendance générale à Hollywood.

Mais malheureusement, n'est pas Terrence Malik (The Tree of Life) qui veut. En effet, si Malik produit peu, il produit bien, à l'image de Stanley Kubrick. Le pédigrée de Niccol reste nettement moins impressionnant: Bienvenue à Gattaca, Simone, Lord of War (son meilleur film à ce jour), Time Out, et plus récemment Les âmes vagabondes.

Les âmes vagabondes rejoint par sa froideur, le comportement de ses personnages et la thématique du conformisme Gattaca,  sans pour autant lui arriver à la cheville.

Etonnant de voir toutes les mauvaises décisions de réalisation prises par Andrew Niccol, cela frôle le ridicule.

 

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