The age of Adaline, Je suis mort mais j'ai des amis, Poltergeist ... votre cinereview - Actu Cinema

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Bouli Lanners fait beaucoup parler de lui ces derniers temps. Il revient, cette fois, en guitariste wallon déjanté dans Je suis mort, mais j’ai des amis. Après le décès du chanteur du groupe, les membres restants décident de vivre malgré tout leur rêve : partir en tournée aux États-Unis. Un road-movie où se mêlent absurde et tendresse et qui n’hésite pas à mettre à l’honneur les Innus, cette peuplade native du Nord-Canada.

Changement de registre avec Poltergeist. Ce remake du film de 1982 n’est qu’une pâle imitation de la version originale, écrite à l’époque par Steven Spielberg. Très, voire trop, fidèle au script initial, le film raconte l’histoire d’une famille qui emménage dans une maison qui, de prime abord, semble tout à fait normale. Mais à peine les cartons déballés, d’inquiétants phénomènes se déclenchent, pour ne laisser aucun répit aux nouveaux habitants… 

Plus romantique, The age of Adaline surprend… par l’ennui total qu’il provoque chez le spectateur. Petit mot sur le script : Après avoir été victime d’un accident, Adaline se rend compte qu’elle ne vieillit plus. Elle décide alors d’abandonner sa vie et de cacher ce secret à ses proches... Jusqu’au jour où elle s’offre à nouveau de goûter au bonheur... Et là, rien ne va plus, on a droit au climax le plus ridicule de ces dernières années. Mais nous allons nous arrêter là, on ne voudrait pas vous gâcher la fin !

Kidnapping Mr. Heineken relate la mésaventure arrivée à Freddy Heineken et à son chauffeur, Ab Doderer, lorsqu’en 1983, ils se font kidnapper. Ils seront libérés contre une caution de 35 millions de florins néerlandais. Anthony Hopkins est impressionnant de magnétisme et de froideur manipulatrice dans son rôle de magnat des brasseries. Mais ce thriller classique nous laisse un peu sur notre faim même s’il reste plaisant et efficacement mis en scène.

Evelyn – Chiara D’Anna – et Cynthia – Sidse Babett Knudsen – s’aiment. Leur relation lesbienne sadomasochiste les entraine dans un tourbillon d’humiliations, d’enfermements, de frustrations, mais sans jamais avoir recours aux châtiments corporels. Dans The Duke of BurgundyPeter Strickland arrive à faire décoller un obscur genre cinématographique – celui des lesbiennes vampires – et l’attire vers un niveau artistique tel que le film semble habité d’une nouvelle fraîcheur. Ce long métrage est aux antipodes de l’univers marchand du célèbre Cinquante nuances de Grey sorti plus tôt cette année… un chef d’œuvre passionnel et envoutant !

Retrouvez égalements Zurich, Paul Blart: Mall Cop 2, Valley of Love et le documentaire Birobidjan, dès aujourd'hui dans les salles!

Belle semaine à vous!

 

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Birobidjan

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 De : Guy-Marc HinantEn 1934, Staline imagine un Etat indépendant pour y recueillir les juifs communistes, non seulement soviétiques mais du monde entier. Jusque-là, le Birobidjan n'était qu'une région vide, sibérienne et marécageuse jouxtant la frontière chinoise. Cinq ans avant que la guerre n'éclate, quinze avant la... Lire la suite... Horaires
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